Il apparaît évident qu’il y a eu des dysfonctionnements lors du 1^er tour des interclubs N2 dans notre région du Centre Atlantique.

Les plus importants sembleraient être

1)      Les montées de barres dans les sauts verticaux

2)      Les pénalités à imposer quand il n’y a pas suffisamment de jurys ou quand le juge est également athlète.

Il est évident que pour la finale N2 à Coulaines (qui implique une comparaison de points avec les clubs de N1) il faille répondre strictement à la réglementation fédérale concernant la N1.

Je rappelle rapidement :

Les montées de barre seront celles du livret fédéral : Réglementation des compétitions nationales (http://www.athle.com/asp.net/main.pdf/pdf.aspx?path=/Reglement/livret_2007.PDF ) (pages 62 & 63 – article 1402.4.5 & 1402.4.6)

et pour le jury obligatoire : 2 officiels fédéraux (3^ème degré) et 4 officiels régionaux (2^ème degré) - 4 au moins de ces officiels devront officier comme Juges de concours

Les pénalités étant de 150 €uro par officiel non présenté ou ne remplissant pas la qualification prescrite, aggravé d’une perte d’au moins 700 points par officiel non présent  ou non qualifié (voir livret fédéral ci-dessus page 70 – article 1408.3)

Pour les poules de classement à Niort et à Vineuil, ça se corse.

Je rappelle le règlement : art 1404.1.3 page 66 – La composition et le règlement des rencontres régionales et interrégionales seront laissés à l’initiative de chaque Ligue régionale et chaque Conseil Interrégional.

Que je sache il n’y a rien d’écrit dans les comptes-rendus des conseils interrégionaux concernant les montées de barres, le nombre d’officiels, la qualité de ces officiels. Il me semble donc évident que par soucis d’équité, le règlement de la N1 soit également appliqué à ces poules de classement. Cependant l'athlétisme est également au service des athlètes, il faut donc démarrer les concours des sauts verticaux en fonction des possibilités des athlètes qui démarrent le plus bas; et , bien entendu, le choix des barres reste sous l'entière responsabililité des directeurs de réunion et leurs juges-arbitres pour ne pas léser ces athlètes et, par la même occasion, leurs clubs.

Le Conseiller chargé des Missions Interrégionales